Revenir en ville
Après presque un mois de vacances, je ne suis pas malheureux de rallumer mon lanternon et de reprendre mon arpentage urbain. Malgré près de 4000 kilomètres dans les maritimes, ça me dérange pas une miette de me réinstaller derrière le volant pour m’en taper encore plein.
J’ai adoré rouler dans les campagnes et sur les petits chemins en bord de mer. La Cabot Trail au Cap-Breton est sans doute une des plus belles routes au monde. Mais ma place, là où je me retrouve, reste et restera probablement toujours Montréal.
Bien oui c’est tout croche, les infrastructures tombent en ruine, y’a presque autant de cônes oranges qu’il y a d’habitants. Je sais, c’est pas reposant, y’a du bruit, c’est sale, on se pile sur les pieds, on joue du coude, on se fait la baboune.
C’est vrai que Montréal n’est pas aussi grande et belle qu’on voudrait bien nous faire croire. Pourtant, elle a ce petit je ne sais quoi, elle fait « ville d’à côté » qui ne cesse de me séduire.
En fait, ce que j’aime de cette ville c’est qu’elle est mêlée! Que ce soit dans son monde qui vient de partout, dans son architecture hétéroclite, dans sa culture bigarrée, dans ses parfums, dans ses saisons et quoi encore? On ne sait plus où donner de la tête. Ça me fait tourner la mienne...
Pas malheureux du tout de revenir tourner en elle.
J’ai adoré rouler dans les campagnes et sur les petits chemins en bord de mer. La Cabot Trail au Cap-Breton est sans doute une des plus belles routes au monde. Mais ma place, là où je me retrouve, reste et restera probablement toujours Montréal.
Bien oui c’est tout croche, les infrastructures tombent en ruine, y’a presque autant de cônes oranges qu’il y a d’habitants. Je sais, c’est pas reposant, y’a du bruit, c’est sale, on se pile sur les pieds, on joue du coude, on se fait la baboune.
C’est vrai que Montréal n’est pas aussi grande et belle qu’on voudrait bien nous faire croire. Pourtant, elle a ce petit je ne sais quoi, elle fait « ville d’à côté » qui ne cesse de me séduire.
En fait, ce que j’aime de cette ville c’est qu’elle est mêlée! Que ce soit dans son monde qui vient de partout, dans son architecture hétéroclite, dans sa culture bigarrée, dans ses parfums, dans ses saisons et quoi encore? On ne sait plus où donner de la tête. Ça me fait tourner la mienne...
Pas malheureux du tout de revenir tourner en elle.
envoyé par Pierre-Léon Lalonde à 5:56 AM
5 Comments:
En toute vérité : Montréal, t'es la plusssss belle quand même !
Bon retour!
bonne fin de saison
Et oui Montreal! C'est sa complexité, c'est son fouilli, c'est toute cette richesse qui fait qu'on l'aime!
Salut!
Je te lis depuis 2 ans avec le plus grand des plaisirs!! MERCI! Ton premier tome sur le siège du passager tout les jours,un passager divertissant et pas dérangeant pour de longues distances! Je suis né a Montréal et j'y suis depuis 44 ans mais aussitôt qu'arrive mes 2 ptites semaines de vacances l'été,je pars pour Québec,la ou je me sens pas mal plus chez moi qu'ici a Montréal ou le français y est plus rare qu'un nid de poule, le monde beaucoup plus chaleureux etc, etc.. Bref je veux ma retraite a Québec et mes vacances a Montreal pour ses bons cotés...la culture,la bouffe et le grand prix de F1!! Et oui j'adore l'automobile!! Merci de me lire.
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